jeudi, septembre 16, 2010

J’étais là devant tout ce qui c’est passé ce jour là… Je savais et je n’ai rien dis, je n’ai rien fait… attendant patiemment que le drame déverse sont flot de « trop tard » ou de « je le savais » mais je n’ai rien fait…
Il était là promesses aux lèvres et rage au corps comme un chien enragé qui vous léche les bottes pour mieux vous mordre après. Il était fièrement dressé. On aurait presque eu l’illusion qu’il était grand et qu’il pouvait beaucoup. Donner l’illusion de puissance était la première leçon bien retenue de son maitre et qu'il avait su bien s'approprié par son propre arrivisme.
Debout devant la lumière, il donnait le change et devant les incrédules il annonçait des merveilles comme un miroir aux alouettes pour des pigeons. La chasse à la palombe est ouverte et que les volatiles n’ont qu’à bien se tenir. On devient sourd à force d’avoir les oreilles cassées par trop de bruit, ou alors on ne s’entend pas dans ce monde là. Le discours sonne faux mais la musique est belle.
C’était le 6 Mai 2007 j’étais là et je n’ai rien fait